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Forum Eerste Wereldoorlog Hét WO1-forum voor Nederland en Vlaanderen
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ceeswing
Geregistreerd op: 2-1-2012 Berichten: 2
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Geplaatst: 01 Aug 2017 14:26 Onderwerp: Obus granaat uit 1870 |
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Ik heb deze granaat gevonden, wie kan mij iets meer vertellen over de waarde en werking? |
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Binkske007 Moderator

Geregistreerd op: 8-4-2008 Berichten: 3976 Woonplaats: Turnhout (België)
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Geplaatst: 02 Aug 2017 15:46 Onderwerp: |
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Mooi stuk.
Als gewezen artillerist ben ik wel een beetje (veel) jaloers.
Maar ik moet je wel melden dat dit projectiel niet echt binnen de doelstellingen van ons forum past, namelijk de eerste wereldoorlog.  _________________ "They shall grow not old, as we that are left grow old"  |
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Patrick Mestdag Moderator

Geregistreerd op: 30-5-2005 Berichten: 5815 Woonplaats: De Pinte
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Geplaatst: 03 Aug 2017 10:02 Onderwerp: |
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Wow... mooi stuk , bedankt om het hier te laten zien , wel daterend uit een ander conflict , maar wel interessant
Hier niets over de waarde of werking maar wel over het Bombardement van Strasbourg , plat gegooid gedurende de Duits - Franse Oorlog van 1870.
Dus weer een stad die voor een groot deel herbouwd is .
Zoek nog uit hoe de belangrijke Gotische Kathedraal dit doorstaan heeft.
Een goed artikel in het Frans gevonden hierover .
Het Beleg van Strasbourg
Siège de Strasbourg
C’est la guerre franco-allemande de 1870
https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_de_Strasbourg
http://www.aqht-strasbourg.com/quartier-halles-tribunal-et-la-guerre-de-1870/
C’est la guerre franco-allemande de 1870
qui fit subir à notre quartier des transformations importantes. Elle marqua le début d’une époque d’expansion et de changements.
Le conflit montra d’abord que la ville n’était plus protégée par son enceinte. Restées quasi inchangées depuis Vauban, les fortifications ne purent rien contre les canons prussiens qui, postés à plus de cinq kilomètres de la ville, la bombardèrent sans grands risques pour eux.
Le siège fut dur pour Strasbourg, même si, contrairement à celui de Paris, il n’entraîna que peu de restrictions alimentaires. Les denrées renchérirent, mais ne manquèrent pas. Les souffrances vinrent donc surtout du bombardement qui dura du 15 aout au 27 septembre. En six semaines, 193 772 projectiles tombèrent sur la ville, causant d’énormes dégâts, dont notre quartier subit une bien grosse part.
L’artillerie de la garde sédentaire sur les remparts de la Porte de Pierre
Dès le début de la guerre, au lendemain des batailles de Wissembourg et de Froeschwiller, la ville avait connu un afflux de troupes débandées. Elles aidèrent le commandant de la place, le général Uhrich, à constituer une armée de 22 000 hommes ; mais hétéroclite et manquant de cadres, elle n’eut qu’une efficacité réduite. En face d’elle, une armée wurtenbergo-badoise de 60 000 homme, commandée par le général von Werder, avait pris position.
Dès le 8 août, une division badoise atteignit les villages au nord de la ville. Un émissaire vint sommer la place de se rendre. Au nom du général Uhrich, le colonel Ducasse opposa un refus catégorique. Le commandement allemand brandit la menace d’un bombardement, sans égard pour la population civile d’une cité qui, par son refus de se rendre, s’était constituée en place de guerre. Des batteries s’installèrent sur les collines de Hausbergen, d’autres tirèrent sur la Citadelle depuis la rive droite du Rhin.
La Porte de Pierre
En hâte, le général Uhrich fit renfocer les fortifications, plantant des palissades, abattant des arbres et démolissant les constructions sommaires qui avec le temps avait encombré les glacis. Faute d’avoir été entrepris à temps -on ne voulait pas affoler la population – le travail ne put s’achever en raison du tir des assiégeants.
Constatant l’inefficacité de ces mesures, les habitants de la ville et notamment ceux de notre quartier appliquèrent le vieux proverbe, « aide-toi et le ciel t’aidera ». Au Faubourg de Pierre, le brasseur Lipp créa un dépôt de pompes à incendie et de cuves d’eau animé par cent quarante volontaires civils. Constitués en sections d’une quinzaine d’hommes, ceux-ci étaient prêts à lutter contre le feu. L’occasion de se dévouer, hélas, ne leur manqua pas, pas plus qu’au corps officiel des sapeurs-pompiers qui occupaient le dépôt municipal de la rue Kageneck, à deux pas du Marais Vert.
quartier halles tribunal en 1870
Dès le 13 août, un obus touchait la ville, tombant dans une cuisine du Marais Vert. Il causa peu de dégâts et heureusement, encore aucune victime, mais attira sur place de nombreux curieux. Dès le lendemain, la direction de l’usine à gaz vida les gazomètres de la rue des Bonnes Gens pour éviter tout risque d’explosion et l’éclairage de la ville ne fut plus assuré que par des moyens de fortune.
Le bombardement devint massif à partir du 15 août. Le premier mort civil, tué le 16, fut un porteur de sacs de 47 ans, Joseph Ulrich. Dans la nuit du 26 au 27 août, un formidable incendie provoqué par les tirs ravagea le faubourg de pierre malgré les efforts des hommes du brasseur Lipp.
Une sortie tentée le 2 septembre sous les ordres du colonel Fiévet essaya de dégager les rotondes du chemin de fer au nord de la porte de Saverne, mais elle n’empêcha pas les assiégeants de poursuivre leurs travaux d’approche. Tandis que le 6 septembre les obus détruisaient la caserne Finkmatt de fond en comble, les troupes de génie allemand traçaient une parallèle face à la porte de Pierre. Le 19, une brèche béante fut ouverte dans le rempart, à côté. Un assaut sanglant et inutile étant imminent, le général Uhrich se résolut à la capitulation après en avoir référé au maire Kuss et au préfet Valentin.
destruction porte de Pierre Strasbourg
Au lendemain de la proclamation de la République, le 4 septembre, ces derniers avaient remplacé le maire Humann et le baron Pron. Les conditions de la reddition furent discutées avec le commandement ennemi et le 27 septembre, le drapeau blanc flotta sur la cathédrale endommagée.
La réaction des Strasbourgeois fut mitigée. Beaucoup voyaient avec soulagement la fin de leurs épreuves. D’autres refusaient de croire à la défaite et se berçaient de vains espoirs grâce aux rumeurs qui circulaient. On entendit dire ainsi qu’une armée de secours arrivait à marche forcée par les Vosges et que le drapeau blanc sur la flèche annonçait la mort du pape.
Mais il fallut bien se rendre à l’évidence. On compta les victimes, morts et blessés, au nombre de 4300 don 1800 civils et l’on déblaya les ruines. De notre quartier il ne restait que peu de maisons intactes. Environ 140 dont 66 dans le seul Faubourg de Pierre étaient entièrement détruites et les sans-abri se comptaient pas centaines.
Aussitôt on se mit à l’ouvrage. dès le 30 septembre, l’administration civile, fortement contrôlée par les militaires vainqueurs, créa des groupes de déblayage. On organisa des secours pour les plus touchés et l’entraide joua à plein entre les citoyens. _________________ Verdun ….papperlapapp! Louis Fernand Celine
Ein Schlachten war’s, nicht eine Schlacht zu nennen“ Ernst Junger .
Oublier c'est trahir ! marechal Foch |
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rady
Geregistreerd op: 25-5-2007 Berichten: 333
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Patrick Mestdag Moderator

Geregistreerd op: 30-5-2005 Berichten: 5815 Woonplaats: De Pinte
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Geplaatst: 03 Aug 2017 14:36 Onderwerp: |
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Goed gevonden die obussen in de huizengevels .
Na de obus beelden, van de tweede link , post van rady
zit er een leerrijke korte documentaire (Frans)
omdat die niet steeds dezelfde is, hier de directe link
#5 La MicroHistoire: La Guerre Franco-Prussienne
https://www.youtube.com/watch?v=LhiadXG2pVs
En ja de imposante kathedraal heeft er ook van langs gehad ,
en schade geleden .
@+
Patrick _________________ Verdun ….papperlapapp! Louis Fernand Celine
Ein Schlachten war’s, nicht eine Schlacht zu nennen“ Ernst Junger .
Oublier c'est trahir ! marechal Foch |
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ceeswing
Geregistreerd op: 2-1-2012 Berichten: 2
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Geplaatst: 03 Aug 2017 15:47 Onderwerp: |
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Dank voor jullie reactie,s
Ik had zelf dit gevonden;
http://altair2134.free.fr/livres/alsatiques/fischbach_siege_strasbourg.pdf
Hierin wordt bijgehouden wat er toen dag tot dag is gebeurd
Maar ik ben nog steeds benieuwd, niet alleen naar de waarde maar bijvoorbeeld ook waarom de groeven op de granaat
(er zit toch immers een loden(?) huls omheen als hij wordt afgevuurd?)
En wat voor een explosief werd er gebruikt om de granaat (die heel zwaar is ) te laten exploderen.
In ieder geval heel bedankt voor jullie reacties, ik woon in Frankrijk in de Haute Marne en zie wel vaker dingen uit de oorlog.
Maar deze staat nu in de boekenkast een monument te zijn.
Want als je dat allemaal leest dat moet het heel heftig geweest zijn.
http://altair2134.free.fr/livres/alsatiques/fischbach_siege_strasbourg.pdf |
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